Un revirement spectaculaire. Il y a moins de dix ans, dans les actions coup de poing des activistes Femen, on pouvait apercevoir de manière presque systématique la jeune Marguerite Stern seins nus, le torse recouvert d’inscriptions telles que «Marie, marions-nous», «Oui chérie», ou encore «Fascist rest in hell» (que les fascistes reposent en enfer).
Ce 31 octobre 2024, celle qui a publié au début de l’année l’enquête Transmania sur l’omniprésence de l’idéologie transgenre, fait un long mea culpa face caméra, disant présenter «ses excuses» aux catholiques pour ses anciennes attaques contre la religion.