« Des gens se ruinent pour une consultation de voyance »interview de Rose-Anne Vicari, auteure de « Confessions d’un voyante »
Il y a deux ans, étranglée par les dettes, Rose-Anne Vicari est devenue voyante par téléphone. Aujourd’hui, cette Marseillaise de 54 ans publie un livre sur un business dont elle dénonce les ficelles.
Vous avez exercé le métier de voyante par téléphone pendant deux ans. Comment prédisiez-vous l’avenir ?
Depuis mon adolescence, je tirais les cartes très ponctuellement pour des amis. Alors, je me suis lancée. Quand des clients me posaient des questions sur leur avenir sentimental, le travail ou l’achat d’une maison, je réussissais la plupart du temps à tomber juste. Cela me confirmait mes soi-disants dons. J’ai pratiqué pendant un moment en toute bonne foi. LIRE LA SUITE