On s’achemine vers la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, le 7 et le 8 décembre. Ce monument, c’est-à-dire le langage inscrit dans la pierre, exerce un pouvoir sur nos âmes, il fascine les indifférents qui ne le comprennent pas, fortifie les esprits de ceux qui le révèrent. Notre-Dame, comme toutes les cathédrales, sont des balises dans un monde perdu.
Mais quel est le lien entre la technique et la pensée et quel message ses bâtisseurs voulurent-ils répandre à travers ce surgissement minéral ? Pauline de Préval décrypte la dimension eucharistique de Notre-Dame de Paris.