Au cours des derniers mois, plus d’une douzaine d’interventions d’évêques individuels ou de dicastères romains ont eu lieu pour corriger, entretenir ou censurer diverses nouvelles fondations communautaires, des mouvements ecclésiaux et la prélature de l’Opus Dei. Il s’agit d’un signal important à ressentir non pas tant du côté de la discipline, mais plutôt du côté de la vérification, 60 ans plus tard, de l’un des fruits importants de Vatican II.